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Bonjour chers âmies et âmis,
Dans le blog suivant : http://ascension101.com/
j'ai trouvé un article intitulé : ""Je suis une victime!!" ? Un lien dans la chaîne de l?asservissement."
Je vous le recommande car il répond avec une certaine profondeur notamment à la question "est-ce qu'on choisit vraiment les expériences que l'on vit". En tout cas la formulation me convient et me parle assez clairement.
Dans la rubrique Vidéos, vous trouverez quelques vidéos avec quelqu'un que je ne connaissais pas (même si son visage m'apparait plutôt famillier) : Inelia Benz, qui donne des conférences sur le thème "2012 et calendrier Maya" mais pas seulement... Je n'y connais pas encore grand chose, mais je suis plus sensible à sa formulation qu'à celle de Ian Xel Lungold.
Je suis plus sensible aux messages sur l'universel, l'absolu et hors du temps, tels que ceux transmis par Neale DW dans ses ouvrages, qu'aux messages de type "prédictions", mais le contenu et l'intention de ce que dit Inelia Benz m'apparaît plus constructif et positif que les perspectives de fin du monde sur lesquelles beaucoup spéculent au risque, peut-être, d'y contribuer.
Enfin, à chacun son appréciation... Je dois dire que ces choses positives me font du bien ces temps-ci.
A L'Un
A l'Un, comme à Tous.
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Bonjour,
Se sentir victime est d'abord une croyance.
Dans les 4 accords toltèques de Don Miguel Ruiz, on appelle cela le processus de domestication du juge et de la victime.
"Tout comme le gouvernement possède un livre de lois qui contrôle le rêve de la société, notre système de croyances est le Livre de Lois qui dirige notre rêve personnel. Toutes ces lois existent dans notre tête, nous les croyons, et notre Juge intérieur fonde tout ce qu'il dit sur elles. Le Juge décrète et la Victime subit la culpabilité et la punition...
Ne donnez pas à votre Juge intérieur la satisfaction de faire de vous une victime...
le Juge et la Victime régissent notre existence : voilà ce qui est arrivé. Nous ne sommes plus libres parce que le Juge,la Victime et le système de croyances dont ils font partie ne nous permettent pas d'être qui nous sommes vrai-ment. Dès l'instant que notre esprit a été programmé avec tout ce fatras, nous ne sommes plus heureux...
Ce que nous recherchons, c'est la liberté d'être nous-mêmes, d'exprimer qui nous sommes. Mais en observant notre vie, nous voyons que la plupart du temps nous agissons simplement pour faire plaisir à autrui, pour être accepté par les autres, plutôt que de vivre notre vie pour nous faire plaisir à nous-mêmes. Voilà ce qui est arrivé à notre liberté. Et c'est ainsi que dans notre société et dans les autressociétés de la planète, neuf cent quatre-vingt-dix neuf personnes sur mille sont complètement domestiquées...
Le pardon est la seule façon de guérir. On peut décider de par-donner par compassion pour soi-même.
On peut se détacher de tout ressentiment et déclarer : ? Cela suffit ! Je ne serai plus le Juge qui me tyrannise.
Je ne m'en voudrai plus et ne me maltraiterai plus. Je ne serai plus la Victime. ?
Il vous faut tout d'abord pardonner à vos parents, à vos frères et soeurs, à vos amis et à Dieu. Lorsque vous avez pardonné à Dieu, vous pouvez finalement vous pardonner à vous-mêmes. Lorsque vous vous serez pardonné, le rejet de vous-même dis-paraîtra de votre esprit. Ce sera le début de l'acceptation de vous, et votre amour propre deviendra si fort que vous pourrez finalement vous accepter tel que vous êtes. Ce sera le commencement de la liber-té humaine. Le pardon en est la clé."
Namasté ! :sol:
"L'Amour nous fait devenir ce que nous aimons"
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Désolé , mais je n'ai jamais rien compris à cette notion du pardon . Pardon de quoi ?
Ceci laisse entendre qu'il y a véritablement un bourreau et une victime ... en sommes nous certain ?
En ce qui me concerne , je n'ai jamais pardonné à qui que ce soit . Je prend simplement acte du comportement de la personne en question et j'essaye de comprendre pourquoi je me suis mis dans cette situation ou en contact avec elle . Qu'ai-je à apprendre sur moi-même à ce moment là ?
J'ai finalement toujours considéré que donner son pardon à quelqu'un venait purement et simplement de notre propre égo . C'est pas un peu se sentir supérieur à l'autre que de 'donner son pardon' ? moi je crois bien que oui ...
Et cette histoire de pardon , ça laisse aussi entendre qu'il y aurait quelque chose d'imparfait dans l'Univers et dans tout ce qui arrive , non ?
Je pense qu'il n'y a rien à pardonner , les actes sont ce qu'ils sont , point !
Je crois davantage à la loi de cause à effet . Dans la vie , tu peux poser soit un acte d'Amour soit un acte de cruauté (par exemple sur un animal) mais il me semble que ça ne concerne que celui qui le réalise et personne d'autre .
Le pardon lie toujours celui qui le 'donne' à l'autre . Il y a comme un lien invisible entre les deux qui est toujours présent au fond ....est-ce vraiment ça la liberté ?
Enfin , ce n'est que mon avis ...
:b1:
L'expérimentation conduit à la compréhension et la compréhension conduit à la maîtrise .
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kris tina
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Orang, pendant des années, moi aussi je n'ai rien compris au pardon,
mais quand Jésus l'innocent, demande à Dieu de les pardonnez c'est là l'erreur,
c'est Jésus qui pardonne, au lieu de vouloir se venger, grâce à la compassion,
c'est l'inverse de la vengeance, pour moi c'est çà,
ne pas trouver de raison pour se venger...
mais on ne pardonne pas pour oublier, ou pour recommencer quelque chose avec quelqu'un,
c'est juste pour soi,
cela ne change pas les choses faites dans l'erreur,
tu vas me dire il n'y a pas d'erreurs,
s'il n'y a pas d'erreurs alors pourquoi veux tu que les personnes deviennent végétariennes ?
cela crée de la colère chez les animaux, de les manger....de les chasser, de les tuer pour leur ivoire, par ex:
décimer les éléphants en afrique à créé de la colère chez les éléphants qui sont restés en petit nombre....une immense colère....
les éléphants n'ont pas appris la compassion,
alors ils foncent sur les êtres humains....etc....
la différence avec un être humain, c'est qu'il doit user de compassion....
pardon= compassion
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Ne pas pardonner, c'est comme quand je me suis relevé et que je me suis violemment cogné la tête sous le tirroir qui était resté ouvert et que, non content, j'ai rajouté : "ah mais quel con !!!"...
Comme si ça ne suffisait pas de me cogner, en plus je m'insulte moi-même... Je rajoute du mal à la douleur, je porte un jugement pas franchement divin et, bizarrement, ça ne diminue pas la souffrance. Du coup, je m'en veux, et je garde ça dans la tête (c'est le moins con puisse dire) et aussi sur le coeur pendant un "bon" moment.
On remarquera que dans ce cas, pour compliquer encore un peu, on a beau n'être qu'une seule et même personne, on se voit quand-même comme si on était plusieurs : entre la partie victime, la partie bourreau (le con) et le juge, pour ne siter que ceux-là.
Pardonner, c'est peut-être juste admettre qu'à ce moment j'ai manqué d'un peu de présence au moment présent, que j'ai fait abstraction du fait que toutes les conditions étaient logiquement et naturellement réunies pour que cela se passe comme ça ; qu'il n'y a personne à blâmer, et qu'en suivant des conseils fréquemment sollicités et rappelés dans tous les blogs, les livres, les conférences, les cours et les enseignements, il ne reste plus qu'à accepter que c'est ainsi, de le regarder sans jugements, ici et maintenant de telle sorte que l'égo et son mental n'ont plus de prise dessus, et que cela s'estompe, s'évanouïsse, disparaisse...
Bon, ben maintenant que j'ai bien parlé, je vais mettre en application, parce que mon p....n de voisin, avec qui j'avais jusqu'alors eu de relativement bonnes relations, s'est acheté un berger malinois (sorte de berger allemand, mais pas allemand) qui depuis des mois m'aboie dessus avec agressivité à travers la haie dès qu'il entend, sent ou voit ma présence, bref : tous les jours.
De nature patiente et tolèrante, j'ai trop rien dit au début, mais le petit à grandi, et sa gueule aussi ! Le problème c'est que quand je vais sonner chez mon voisin (quatre ou cinq fois en plusieurs mois), ce dernier n'apprécie pas, c'est comme si moi je l'agressais, et pour faire court : "ce chien est fait pour ça (monter la garde et donc aboyer) et si ça plait pas aux voisins, ils ont qu'à pas sortir dans leur jardin..."
Et bien je vous jure que j'ai du mal à imaginer que lui et moi on ne fait qu'UN ; nom d'un chien ! (ça c'est pour pas blasphémer). Et avant de lui pardonner, je lui mettrais bien un coup de carabine (au chien). Le truc, c'est que vu mon voisin, le coup de carabine suivant il serait bien plutôt pour moi, parce que le mot "pardonner", lui il doit même pas savoir que ça existe (c'est vrai quoi, pauvre chien qui peut pas vivre sa vie de chien tranquille...)
En plus, j'ai pas d'carabine.
J'vous dis pas les aigreurs d'estomac, les crispations dans le dos, la boule dans la gorge, et les parfums de dépression qui pointent leur nez. Je me surprends même à sortir dans la cour en faisant attention de ne pas faire de bruit... chez moi ! Est-ce qu'il va aussi falloir que je démarre ma voiture sur la pointe des pneus ?
Bon, j'ai plus le temps tout de suite ; j'y reviendrai plus tard...
Ce blog nous tienne en joie !
Derni?re modification le 09-02-2012 ? 20:19:06
A l'Un, comme à Tous.
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Pardonner c'est lâcher-prise.
Le lâcher-prise passe par l'acceptation, l'acceptation de ce qui a été, de ce qui est et de ce qui sera.
Le lâcher prise consiste à accepter ce qui se présente, non pas au sens d?un cautionnement de l?évènement mais au sens de l?accueil d?une réalité.
Son intérêt est de nous décrocher de la souffrance, toujours liée au refus des faits et de l?environnement, humain ou non. Ce refus de la réalité entraîne une résistance et un conflit en soi.
"L'Amour nous fait devenir ce que nous aimons"
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kris tina
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Le chien de mon voisin ne me supporte pas , :col:
mais Alun, quelle chance que tu as, là de trouver le truc, qui va changer tout ! :oe:
Donne lui un gros os à ce petit chien, :c9:
imagine qu'il est tout tout petit, qu'il tient dans la main et que tu le caresses ! :oe:
c'est toujours ceux qui sont pas pris dans une telle situation qui pensent avoir la réponse, je sais, c'est comme çà,
si j'étais prise dans ce truc j'aurais les mêmes réflexions que toi,,,,
imagine aussi que ce chien, il ne garde pas que sa maison mais la tienne aussi,
alors remercie le de sa complète contribution à la garde de ta maison "smile)
:c9:
bien à toi,
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kris tina
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bon c'est vrai çà m'est arrivé, une situation ressemblante à dire vrai !
ma voisine partait à 7hoo le matin elle rentrait à 19hoo le soir,
son chien gémissait dans la journée, bien sûr,!
je lui ai proposé de le promener aux heures habituelles lorsqu'elle était présente à la maison et il n'a plus gémi, il me reconnaissait ensuite et il me faisait la fête :ct:
si quelqu'un a d'autres idées, pour calmer un chien de garde ?
en fait, mes parents avaient un chien de garde et il faisait exactement ce que tu dis,
et c'est vrai, à l'époque de mon adolescence,' dizaines d'années) çà m'ennuyait, fortement, mais
surtout parce qu'il allait "gêner" tout le monde...
donc y aurait-il une "gêne" ? par rapport à la situation ?
qu'est ce qui fait que tu es énervé,
car plus tu vas l'être, plus le chien va le ressentir !
voyant comment tu vis chez toi, je pense que tu trouves que ce chien a du toupet !
tout le monde respecte son voisin,(e) et lui, non, ( mais il s'en fout ,lui, )
c'est là ou tu vois que toi tu suis les consignes et lui pas !! :col:
en fait, il suit une autre consigne !!!
j'imagine intérieurement combien tu dois bouillir,,,,
mais il n'a pas fait voeux de silence,,, be cool
à ta place, j'aboierai aussi !!! :bo:
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J'ai bien saisi ce que vous entendez par 'pardon' . Néanmoins cela laisse supposer que la personne qui pardonne pense avoir subit un tort quelconque .
Car quand une personne sait qu'il est impossible de subir un tort de qui que ce soit sans l'avoir choisi auparavant (juste avant l'incarnation) , elle sait également qu'il est donc inutile de pardonner .
Le 'pardon' reste donc dans le domaine de l'illusion . Celui qui croit subir un tort d'une tierce personne se pose en victime mais puisque la religion lui dit :"pardonne à ton prochain" et qu'il pense être un bon chrétien , il pardonne !
C'est comme le soi-disant pardon de Dieu à notre égard , voici par exemple ce que l'on trouve dans le tome 3 de Conversations avec Dieu ...
Dieu dit à Neale :
" En vérité , je ne te pardonne pas et je ne te pardonnerai jamais quoi que ce soit . Je n'ai pas à le faire . Il n'y a rien à pardonner . Mais je peux te décharger . Et je le fais à présent .
La notion de décharger quelqu'un est justement le strict contraire du pardon car celui qui décharge l'autre de sa 'mission' ne le reconnait pas comme un bourreau mais comme un ange ("je ne t'ai envoyé que des anges!") venu permettre à la "victime" de choisir entre la peur et l'Amour .
Ce concept ne remet t'il pas en cause le fameux 'pardon' de nos religions ?
Kris , puisque tu parlais des animaux , nous savons que nous ne pouvons faire aucune comparaison avec la relation humain/humain puisque l'animal est une entité Divine qui n'a rien à expérimenté de spécial sinon à nous aider à mieux vivre .
Il est impossible qu'un humain puisse réellement causer du tort à un autre être humain , ce qui n'est pas le cas avec un animal .
:b1: :sol:
L'expérimentation conduit à la compréhension et la compréhension conduit à la maîtrise .
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kris tina
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Orang, ah je vois, tu es copain avec mr de Lapalice,
celui qui croit avoir subit un tort, a besoin du pardon cela me semble évident, que celui qui ne subit pas le tort n'a pas besoin de demander pardon,
le point ici,
c'est le fait de subir, ou ne pas subir,
je ne peux parler que par expérience, ce qui me fait dire, que si je ne veux pas souffrir quand je me brûle la main,(en cuisine, ce qui arrive souvent )
je me dis, oh cela ne me fait rien, je la met sous l'eau froide et je ne ressens plus la brulure. c'est une volonté de ma part, de ne pas subir....
(çà vient juste de m'arriver au moment où je réfléchissais dans la cuisine,
je me suis brûlée la main gauche)je suis revenue écrire, et au moment ou j'écris je n'ai plus mal....
ce n'est pas que je n'ai pas eu une brulure,
c'est que j'ai choisi de voir la guérison immédiate....
c'est différent, ce n'est pas le tort qui est en cause,
c'est le fait de choisir de subir ou pas...
nous, humain, au contraire de dieu, subissont quelquefois, car nous avons omis de croire à une solution immédiate....
et nous gardons notre "problème de tort" sans guérison pendant longtemps...
d'où découle, le fait d'avoir "raison" ou "tort"
quand quelqu'un vous fait du "tort", cela s'est vite conclu par -"il a tort"
d'où ces batailles incessantes...
mais en fait , au début, je voulais dire, qu'on pense la même chose,
je suis tout à fait d'accord avec ce que tu écris,
mais je l'exprime autrement....
donc c'est un état d'esprit !
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Bonjour,
Avez vous déjà fait souffrir une personne à laquelle vous tenez, une personne que vous aimez; faire tellement souffrir cette personne par votre propre "imbécilité" qu'il ne vous reste plus qu'à demander Pardon?
J'ai fait souffrir ma fille en essayant de mettre fin à mes jours.
La vie de toute la famille a été bouleversée du jour au lendemain. Tout a éclaté... Poufff........!
Ne pas demander pardon aurait été pour moi inconcevable, cela aurait été synonyme sadisme vis à vis de ma fille.
Je lui ai demandé pardon, elle à répondu par la clémence et l'amour.
Que demander de plus?
Demander et vous recevrez!
Cath.
Dieu est partout, soyons donc Amour
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Bonjour les âmi(e)s,
Je suis désolé de m'excuser de vous demander pardon, mais comme le rappelait Orang dans un autre sujet : "chacun à raison de penser qu'il agit ou pense comme il convient du point de vue de là où il se trouve" (ou quelque chose comme ça).
Et quand je vous lis les unes et les autres (pour une fois c'est "autres" qui prend le masculin, sinon, les femmes font toujours partie du groupe "autres"...) je comprends ce qui est dit en tenant compte de où j'ai le sentiment que chacun(e) en est dans son parcours.
J'aimerais bien en être pratiquement (et pas seulement intellectuellement) où semble en être Orang, mais voilà, mon égo tient bien sa place, et il m'arrive encore de devoir en passer par l'étape du pardon en tant que "lâcher prise" tel que décrit plus haut.
Alors vendredi dernier, qui fut un vendredi noir pour mon moral, j'ai chatouillé mon égo jusqu'à ce qu'il lâche prise. Et en revenant de chez la psy, je me suis arrêté dans un magasin pour acheter des bâtonnets à mâcher pour les chiens, et en arrivant chez moi, j'ai justement vu la voisine qui revenait de chercher son fils à l'école. Je lui ai dit bonjour normalement et lui ai amicalement proposé de faire ce qu'elle même m'avait proposé : passer un peu de temps avec le chien de temps en temps, par exemple en promenade avec son fils ; histoire que le chien s'habitue à moi à travers d'autres situations que de part et d'autre de la haie qui nous sépare.
Non seulement les bâtonnets à mâcher pour chien c'est beaucoup moins cher que les psys, mais en plus c'est une occasion comme une autre de faire en sorte de retrouver des relations plus détendues. Mon voisin (le mari de ma voisine) lui continue de m'ignorer parce que son orgueil n'est pas du genre à lâcher prise comme ça.
Et moi (et mon égo) on n'est pas peu fier d'avoir mis un peu d'humilité dans notre regard sur les autres.
J'ai commencé à pouvoir faire ça ce fameux vendredi en faisant un peu abstraction de leur "réalité" à eux et en me demandant : "en quoi est-ce que l'image que j'ai de cette situation où je ne me sens pas respecté par eux, ne serait pas, en fait, la projection du manque de respect que j'ai parfois envers moi-même ?"
Du coup, il n'est plus question de pardon envers l'autre, mais envers moi-même : "Est-ce que je continue à estimer que c'est leur chien et qu'ils doivent en assumer l'entière responsabilité (et là, j'ai intérêt à être patient) ? Ou est-ce que je me dis qu'il y a toujours quelque chose à investir dans la relation, ne fût-ce que des bâtons à mâcher, ou un bonjour, ou tailler la haie... et que d'une manière ou d'une autre nos vies privées ne sont pas aussi privées que ça... ou alors de quoi ?
"Laisse ber-ton" dit la chanson...
Et puis si nous sommes tous "Un", alors pardonner l'autre c'est aussi me pardonner moi, ou demander pardon à l'autre c'est un peu lui demander de m'aider à me pardonner moi-même pour lâcher prise avec ma mauvaise conscience, qu'Orang a bien expliqué comme n'ayant pas lieu d'être.
Bon, allez, je vous laisse, j'ai à faire...
Petit ! Petit ! Il est où le toutou à son voisin ?
Hmm ! Pas mauvais ces bâtonnets...
A l'Un, comme à Tous.
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kris tina
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Alun , que de bonnes nouvelles ! Bon ? le batonnet ??? :c9:
les chats je préfère, à dire vrai :c9: :c9: :b1:
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Ce que je voulais dire sur le 'pardon' c'est simplement ce qui est clairement expliquer dans CAD . Qu'il n'y a en réalité pas de victime et donc par la même occasion pas de bourreau . Tant qu'on reste dans le raisonnement de subir une injustice , c'est qu'on ne parvient pas à sortir de l'illusion .
c'est à chacun d'entre-nous de rester vigilant car notre mental/égo est continuellement en fonctionnement . A nous de ne pas lui donner une trop grande place ...
:b1: :sol:
L'expérimentation conduit à la compréhension et la compréhension conduit à la maîtrise .
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